Avec la réforme du baccalauréat et la suppression des séries en voie générale, les profils des promotions seront de plus en plus diversifiés. Bien que l’attrait pour les sciences et la biologie en particulier soit nécessaire pour s’épanouir à l’ESA, certains lycéens n’auront plus fait de mathématiques, de physique ou de SVT (sciences de la vie et de la terre). Alors comment accueillir cette diversité et assurer les mêmes chances de réussite ?